•  Les Député-e-s Front de gauche ont voté contre le projet de loi de financement de la sécurité sociale adopté par l'Assemblée nationale. Ce texte ne permet, en effet, pas d'engager les réformes structurelles nécessaires au financement équilibré et durable d’une protection sociale de qualité pour tous.
    Le nombre grandissant de malades obligés de différer ou de renoncer à des soins aurait dû conduire à des mesures fortes pour enrayer ce processus. De même, la situation extrêmement dégradée des hôpitaux publics aurait exigé des mesures immédiates en leur direction. Il n'en est malheureusement rien.
    Les Député-e-s Front de gauche ont déposé quelques quarante amendements visant à la fois à assurer des recettes nouvelles pour la sécurité sociale, davantage de justice, des investissements utiles et une lutte résolue contre la spéculation financière. Aucun n'a été retenu.
    Plutôt que de faire contribuer les placements financiers des banques et des entreprises qui spéculent, le gouvernement et sa majorité parlementaire ont malheureusement préféré procéder à une baisse du pouvoir d'achat de la grande masse des retraités pour financer le chantier de la dépendance. Aucune des mesures que les Député-e-s socialistes, comme ceux du Front de gauche, avaient légitimement critiquées quand la droite les a instaurées, n'ont été mises en cause. Il en est ainsi notamment du maintien d'un jour de carence pour les fonctionnaires, de la révision à la baisse des indemnités journalières en cas de maladie ou de la fiscalisation des indemnités en cas d’accident du travail. Les franchises médicales et autres forfaits sont maintenus, qui pèsent d’abord sur les plus modestes et plus globalement sur l’accès aux soins de nos concitoyens.
    Cette loi de financement n'est pas plus porteuse de justice que d'efficacité, puisqu'elle prévoit un déficit chronique jusqu’en 2017 basé, de surcroit, sur des prévisions de croissance et de masse salariale qui ont, hélas, bien peu de chance d’être atteintes.
    En dépit de quelques mesures positives comme le remboursement à 100% de l’IVG pour toutes les femmes qui y ont recours, cette loi de financement de la sécurité sociale ne répond pas aux besoins de la population. Dictée par l'obsession d'une réduction des dépenses utiles, elle porte un nouveau coup de canif dans les chances de réussite de la gauche.

     Jacqueline Fraysse, députée Front de gauche 

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  • A l’invitation du Pré­sident de la Répu­blique, B. Neta­nyahu va être reçu à l’Élysée le 31 octobre prochain.

    Cette visite inter­vient alors que Neta­nyahu vient d’annoncer, l’alliance de son parti le Likoud avec le parti d’extrême-droite d’Avigdor Liberman, actuel ministre des Affaires Étran­gères et chantre de la colo­ni­sation et de la stig­ma­ti­sation des arabes israéliens.

    La poli­tique de Neta­nyahu organise le déve­lop­pement sys­té­ma­tique et sans pré­cédent de la colo­ni­sation en émiettant et étran­glant les ter­ri­toires pales­ti­niens, minant le fon­dement même d’une solution à deux états. Elle main­tient Gaza sous un blocus inhumain, forme inac­cep­table et illégale de punition col­lective. Elle réprime avec constance et bru­talité le mou­vement de résis­tance popu­laire et paci­fique de la société civile pales­ti­nienne. Cette même poli­tique menace l’Iran d’intervention au risque de déclencher un cata­clysme. Neta­nyahu vient chercher en France l’assurance que nous ne recon­naî­trons pas l’État de Palestine et refu­serons de l’accueillir à l’ONU, fût-ce comme état non membre.

    Cela n’est pas accep­table, d’autant plus après le déplo­rable vote au Par­lement européen qui vaut rehaus­sement des rela­tions entre l’Union euro­péenne et Israël.

    La France doit s’en tenir au droit, égal pour tous, et « sou­tenir la recon­nais­sance inter­na­tionale de l’État pales­tinien » en votant oui à la demande pales­ti­nienne à l’Assemblée générale de l’ONU, et en appelant à des sanc­tions contre la poli­tique illégale d’Israël.

    Le Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens appelle à un rassemblement unitaire sur la base de sa charte, place de l’Opéra (terre plein central) à 18h30 le mercredi 31 octobre 2012.

    Signataires

    Agir Contre le Colonialisme Aujourd’hui(ACCA) - Alliance for Freedom and Dignity (AFD) - Alternative Libertaire (AL) - Américains contre la guerre (AAW) - Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF) - Association des Tunisiens en France (ATF) - Association France Palestine Solidarité (AFPS) - Association Nationale des Elus Communistes et Républicains (ANECR) - Association pour la Taxation des Transactions et pour l’Aide aux Citoyens (ATTAC) - Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF) - Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) - Association Universitaire pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP) - Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple Palestinien (CCIPPP) - Cedetim / IPAM - Collectif des Musulmans de France (CMF) - Collectif Faty Koumba : association des libertés, droits de l’Homme et non-violence - Collectif interuniversitaire pour la coopération avec les Universités Palestiniennes (CICUP) - Collectif Judéo-Arabe et Citoyen pour la Paix (CJACP) - Collectif Paix Palestine Israël (CPPI Saint-Denis) - Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient (CVPR PO) - Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrt (CJPP5) - Confédération Générale du Travail (CGT) - Confédération paysanne - Droit-Solidarité - Europe-Ecologie / les Verts (EE-LV) - Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR) - Fédération pour une Alternative Sociale et Ecologique (FASE) - Fédération Syndicale Unitaire (FSU) – Gauche Anticapitaliste (GA) - Gauche Unitaire (GU) - Génération Palestine - La Courneuve-Palestine - Le Mouvement de la Paix - Les Alternatifs - Les Femmes en noir - Ligue des Droits de l’Homme (LDH) - Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Liberty (WILPF) (LIFPL) - Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP) - Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF) - Mouvement Politique d’Education populaire (M’PEP) - Organisation de Femmes Egalité - Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF) - Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) - Parti Communiste Français (PCF) - Parti de Gauche (PG) - Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM) - Une Autre Voix Juive (UAVJ) – Union des Juifs Français pour la Paix (UJFP) - Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT) - Union Nationale des Etudiants de France (UNEF) - Union syndicale Solidaires

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  • Après les « pigeons », voilà les dirigeants de 98 grandes entreprises françaises qui montent au créneau et lancent un pressent appel au président de la république. Cet appel a été publié, dimanche 28 octobre, dans les colonnes du journal Jdd. Il suggère la signature d’un pacte de relance et de l’emploi. On aurait pu croire naïvement que ces patrons nous proposent des idées originales, en raison de la gravité de la situation. A la lecture de l’appel, on est obligés de reconnaître qu’en guise d’originalité, nos patrons nous ressortent de vieilles recettes maintes fois entendues et même appliquées. Pour ces grands dirigeants, il faut abaisser « le coût du travail d’au moins 30 milliards d’euros sur deux ans, en réduisant les cotisations sociales qui pèsent sur les salaires moyens (2 fois le Smic et plus) ». Comment financer ces exonérations ? En augmentant la Tva qui passerait de 19,6 à 21% pour moitié, et pour l’autre moitié, par une baisse des dépenses publiques de 60 milliards d’euros sur 5 ans. Il fallait y penser. En outre, pour faire bonne mesure, nos patrons préconisent une  réduction significative de l’impôt sur les sociétés. Ces gens-là nous prennent pour des gogos. Il est parfois nécessaire de leur rappeler que le pouvoir précédent leur a octroyé pas mal de largesses, comme par exemple l’exonération de cotisations patronales pour les entreprises employant des salariés payés jusqu’à 1,6 fois le Smic. Ou encore en multipliant les niches fiscales et en réduisant substantiellement l’impôt sur les sociétés des grandes entreprises, en particulier celles du CAC 40. A-t-on assisté, pour autant, à une reprise de l’économie ? Toutes ces largesses, qui ont coûté très chers aux salariés et aux contribuables, se sont surtout évanouies sur les marchés financiers ou dans quelques paradis fiscaux. Alors, disons-le, ça suffit les plaintes et les mascarades. Il est grand temps que François Hollande et son gouvernement ouvrent enfin les yeux et travaillent dans l’intérêt de ceux qui les ont portés au pouvoir. Céder aux jérémiades et aux pressions du patronat, c’est exposer le pays à une aggravation de la crise qui nous  conduirait tout droit à la récession et au désastre économique et social. Que les expériences malheureuses de Zapatero et de Papandreou leur servent de leçon.

     

    Angelo Leonetti

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  • Dupont et Dupond sont en bateau. Dupont tombe à l’eau.  Il reste à bord le clone de Dupont, c’est-à-dire Dupond. C’est un peu l’histoire qu’on veut raconter, après la brillante prestation télévisée à laquelle se sont livrés François Fillon et Jean-François Copé. Nos deux candidats, à la présidence de l’Ump et dans un avenir plus lointain, à la future présidentielle, ont engagé une bataille à fleurets mouchetés, sans éclat de voix, ni de paroles assassines, sans doute pour ne pas heurter leurs partisans. Par contre, ils ont fait assaut d’amabilité – certains parlent même de lèche-cul – à l’égard de Nicolas Sarkozy. A contrario, ils n’ont pu retenir leur « amour » pour les nouveaux dirigeants du pays. Tous des incapables. Des gens un peu jeunes pour assumer le destin de la France. Et de sortir les vieilles rengaines du genre : Trop de charges sociales, trop de taxes, trop de dépenses publiques. La faute aux 35 heures, etc. Toutefois nos deux brillants candidats ont oublié de dire qu’ils ont une lourde responsabilité dans l’état actuel du pays. N’ont-ils pas été au pouvoir pendant cinq ans, sans compter la période chiraquienne ? Le bilan est pourtant connu : 600 milliards de dettes publiques supplémentaires, une vague de délocalisations sans précédent,  des niches fiscales en veux-tu en voilà, 3 millions de chômeurs. On en passe et des meilleures. On a envie de dire à ces messieurs, de grâce, un peu de modestie et de pudeur. Dernier élément à signaler d’autant plus qu’il  n’est pas passé inaperçu, à savoir la révélation de Fillon selon laquelle Sarkozy, alors président,  avait demandé au Pdg de Peugeot de retarder l’annonce de la fermeture de l’usine d’Aulnay, après les élections. Pourtant ce même Sarkozy avait juré la main sur le cœur du contraire. Les salariés du groupe automobile ont dû sans doute apprécier.

    Donc, Dupont peut tomber à l’eau. Il reste Dupond pour sauver la France. Comme dirait l’autre, que le ciel nous en préserve. Cela étant écrit, il n’est pas question d’accepter sans broncher les orientations actuelles du gouvernement Ayrault qui s’inscrivent, hélas, dans une logique libérale.

     

    Jean Antoine Mariani

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  • Jean Ferrat chantait : « Le poète a toujours raison, Qui voit plus haut que l'horizon, Et le futur est son royaume… ».. Peut-on en dire autant du peuple ? A-t-il toujours raison ? En 2010, sur France Culture, dans une émission «  Les controverses du progrès » réalisée en partenariat avec le journal Libération,  cette question a fait l’objet d’un débat entre Jean-Luc Mélenchon et  Jacques Julliard, longtemps contributeur à l’idée d’une deuxième gauche, historien et éditorialiste qui, en décembre 2010, venait de rejoindre l'hebdomadaire Marianne, après 32 ans passés au Nouvel Observateur.


    Le peuple a-t-il toujours raison ? [1/3] par melenchonfan
    Le peuple a-t-il toujours raison ? [2/3] par melenchonfan
    Le peuple a-t-il toujours raison ? [3/3] par melenchonfan

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  • Nous publions ci-dessous l’explication de vote du groupe Front de gauche à l’Assemblée nationale, formulée par André Chassaigne, lors du débat, mardi 23 octobre 2012.

    « Nous achevons la discussion du projet de loi de finances pour 2013 dans un contexte économique et social marqué par l’accroissement des difficultés.

    Pour la France, le FMI prévoit désormais une croissance économique de 0,1 % cette année contre 0,3 % attendu par le gouvernement, et surtout de 0,4 % seulement en 2013, moitié moins que le chiffre retenu dans le projet de loi de finances que nous examinons. Dans la note de conjoncture publiée la semaine dernière, les économistes de l’OFCE sont catégoriques : la France n’atteindra pas les 3 % de déficit public en 2013. Au mieux, il s’établira à 3,5%. Selon leurs prévisions, la croissance atteindrait 0,1% en 2012 et 0% en 2013.

    Vingt-neuf économistes, interrogés par Reuters, vont dans le même sens, prévoyant de leur côté un déficit à 3,5% pour une croissance de 0,3%.

    Malgré ces prévisions convergentes, vous persistez à vouloir faire revenir les déficits publics sous la barre des 3% l’an prochain. C’est une entreprise dangereuse, car si l’objectif inatteignable doit être atteint coûte que coûte, ce sera au prix réajustements brutaux, évalués à plus de 20 milliards d’euros, qui risquent de plonger un peu plus l’économie française dans la récession et, au bout du compte, d’accroître encore l’endettement public, comme le montrent les exemples de l’Italie, de l’Espagne ou encore de la Grèce.

    Nous n’avons de cesse de tenter de vous convaincre que c’est la croissance qui nous permettra de réduire nos déficits, et non l’inverse. Dans le contexte actuel, marqué par un niveau record du chômage et une situation de l’emploi qui risque encore de se dégrader l’an prochain, nous jugeons déraisonnable de faire de la réduction du poids de la dette l’unique priorité.

    C’est pourtant l’orientation prise par le projet de loi de programmation, qui prévoit à cet effet de nouvelles réductions d’effectifs dans la fonction publique, 2% en moyenne d’ici 2015, de nouvelles coupes dans les dépenses de fonctionnement des ministères, 5% d’ici 2015, un quasi-gel des investissements, la réduction des concours de l’Etat aux collectivités locales de 750 millions d’euros par an à compter de l’an prochain…

    Les efforts budgétaires consentis sur les missions jugées prioritaires représentent bien sûr une avancée, mais ils restent prisonniers d’une logique étroitement comptable.

    Nous retrouvons la même inspiration, la même hantise du déficit, dans votre stratégie fiscale. Si nous nous félicitons de la volonté de mettre à contribution les revenus des contribuables aisés et des grandes entreprises, qui furent les grands bénéficiaires de la gestion calamiteuse de la précédente majorité, rien ne justifiait de maintenir le gel du barème de l’impôt sur le revenu que François Hollande s’était engagé à supprimer et qui va se traduire, malgré la décote, par une augmentation significative de l’imposition de plus de dix millions de nos concitoyens.

    Nous regrettons en outre que vous soyez demeurés, sur bien des sujets, au milieu de gué. Sur l’ISF, sur la réforme du barème, sur le taux marginal d’imposition… vous avez reculé enfin devant les protestations des prétendus « pigeons », ces champions de la plus-value à court terme, au risque de compromettre la mise en œuvre du principe que toute la gauche appelait de ses vœux, à savoir l’alignement de la taxation du capital sur celle du travail.

    Nous ne pouvons que constater au terme de l’examen de la première partie du PLF, que la véritable révolution fiscale, qui se fixerait pour objectif de combattre les inégalités, de pénaliser la croissance financière des capitaux, de lutter contre la fraude et l’évasion fiscale, demeure d’actualité. Vous n’avez pas donné de suite favorable à nos amendements et êtes demeurés, comme l’exprimait notre collègue Nicolas Sansu, « l’œil rivé sur la ligne bleue des 3%. »

    Nous voterons en conséquence contre le projet de programmation et exprimons les plus vives réserves sur le projet de loi de finances lui-même. Nous nous abstiendrons sur cette première partie, dans l’attente d’évolutions significatives. »

     

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  • aragon

    C'est à l’âge 85 ans, que Louis Aragon nous a quittés en nous laissant les poèmes mis en musique et chantés par des artistes célèbres. Il lui sera rendu hommage le 24 décembre prochain, à l’occasion de ses 30 ans de sa disparition. La Toussaint passée, le Parti Communiste Français propose de fleurir la tombe du poète et écrivain. Il aura droit à un vibrant hommage pour son œuvre et , au siège du conseil national du PCF, des expositions des spectacles musicaux et poétiques, des lectures de textes et des cartes blanches son programmés. Parmi les personnes sollicitées, nous avons noté : Roland Leroy, Jean d'Ormesson, Olivier Barbarant, Jean Ristat, Josyane Savigneau, Pierre Juquin, Bernard Vasseur, Valère Staraselski...

    Aujourd’hui, 24 octobre à 15h, place du Colonel Fabien, avec la participation de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, de Jack Ralite, ancien ministre et d'Alain Hayot, délégué national du PCF à la culture, le programme de cet hommage sera dévoilé officiellement, avec une présentation du livre Aragon d'hier à Aujourd'hui,  publié aux Editions Arcane 17, et dont la préface est signée Pierre Laurent. Cet ouvrage retrace les hommages déjà prononcés par Jack Ralite, et Olivier Barbarant dans la maison de Jean Vilar cet été en Avignon.

    Aragon est mort le 24 décembre 1982, veillé par son ami Jean Ristat. Il est inhumé dans le parc du Moulin de Villeneuve, dans sa propriété de Saint-Arnoult-en-Yvelines, aux côtés de sa compagne Elsa Triolet.

    Jean Ristat avait eu un entretien avec Louis Aragon archivé à l’INA. Au cours de cet entretien, Louis ARAGON parle de la difficile évolution du Parti Communiste Français pendant  les cinquante-et-une années qu'il y a passées, évoque la toute puissance de Maurice Thorez, la disparition de la revue "Les lettres françaises" et les "grands cris" inutiles de Jean-Paul Sartre.

    Pour voir l'ntretien cliquer sur le lien c-dessous:

    http://www.ina.fr/politique/partis-politiques/video/I00013016/louis-aragon-parle-du-parti-communiste-francais.fr.html

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