• L'avenir en commun, Jean-Luc MélenchonLe livre-programme « L’avenir en commun » écrit par Jean-Luc Mélenchon est un best-seller politique et son succès a déjà nécessité plusieurs tirages. Le livre détaille en sept chapitres les mesures que le candidat aux élections présidentielles 2017 (soutenu par le Parti de Gauche, le PCF et Ensemble) compte appliquer s'il arrive au pouvoir. Les ventes s’acheminent vers le nombre de 200.000 exemplaires achetés. L’ouvrage fait partie des 10 meilleurs ventes de l’année 2016. Voici la présentation que Jean –Luc Mélenchon avait faite à sa parution.

    Pour soutenir Jean-Luc Mélenchon et la France insoumise, il est mis à la vente des Kit-volontaires.

     

    Des ventes ont été organisées par des militants par tous les temps…

    Par ailleurs, Jean-Luc Mélenchon est l’auteur de plusieurs ouvrages écrits au cours de sa vie politique et vous pouvez les retrouver en cliquant ICI.

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     « L’industrie du mensonge politique », John Stauber et Sheldon Rampton, traduit de l’américain par Yves Coleman, préface de Roger Langlet, édition Agone, oct. 2004, coll. Contre-feux, 363 pages, ean : 978-2748900125.

    Présentation de l’Editeur Agone :

    En examinant le monde des lobbyistes, ce livre dévoile l’ampleur des manipulations pour transformer l’« opinion publique » et conforter les intérêts des grands groupes industriels. Des espions aux journalistes opportunistes, en passant par des scientifiques peu regardants et de faux manifestants, l’industrie des relations publiques utilise tous les canaux possibles pour que seule puisse être diffusée l’information qui arrange ses clients – gouvernements et multinationales, producteurs d’énergie nucléaire ou de tabac, de technologies polluantes… etc.

    À ceux qui utilisent les méthodes du lobbying pour redresser les injustices sociales, protéger l’environnement, promouvoir les droits des minorités, défendre les travailleurs ou œuvrer pour le bonheur de leur communauté, nous avons voulu montrer que c’est une illusion de croire que ces techniques sont « neutres ». Même si toutes les organisations écologistes du monde mettaient leurs ressources en commun, elles ne disposeraient jamais d’un budget de relations publiques équivalent à celui d’un seul fabricant de pesticides décidé à défendre ses intérêts.

    Une première édition de ce livre est parue en 2004 ; cette réactualisation est complétée d’études de cas issus de l’actualité et du territoire français.

    Sheldon Ramptonest Diplômé de l’université de Princeton, il fut rédacteur en chef de PR Watch jusqu’en 2009. En plus des ouvrages co-écrits avec John Stauber, il est l’auteur de Friends In Deed : The Story of US-Nicaragua Sister Cities (en collaboration avec Liz Chilsen, 1998). Il a collaboré étroitement au Wisconsin Coordinating Council on Nicaragua, pour lequel il était chargé du NICA Fund, projet visant à soutenir le développement économique des pays pauvres d’Amérique Centrale.

    John Stauberest le fondateur et directeur jusqu’en 2009 du Center for Media & Democracy, une association spécialisée dans les investigations sur les entreprises de relations publiques créée en 1993. Il a collaboré à diverses organisations de défense des consommateurs et de l’environnement. Il écrit régulièrement pour la revue du Center for Media & Democracy, PR Watch, et a co-écrit avec Sheldon Rampton : Mad Cow USA : Could The Nightmare Happen Here ? en 1997, Trust Us We’re Experts en 2001, Weapons of Mass Deception : The Uses of Propaganda in Bush’s War on Iraq en 2003 et The Best War Ever: Lies, Damned Lies, and the Mess in Iraq en 2006.

    Un excellent article de Joël Jégouzo sur l’ouvrage :

    Machiavel nous assurait que la finalité du politique était de prendre et de conserver le pouvoir. Ce qu’il ignorait, c’était que cette finalité allait devenir plus radicale encore: mettre le pouvoir à l’abri des démocraties. C’est à cet effrayant constat que nous introduit l’essai de John Stauber, passant au crible l’industrie des relations publiques, des origines à nos jours…

    La suite en cliquant sur le lien ci-dessous...

    http://www.joel-jegouzo.com/article-l-industrie-du-mensonge-sur-le-lobbying-politique-123462426.html

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  • cupidité

    Joseph Stiglitz, l’un des très rares économistes qui avaient prédit la crise financière, dont paraît-il nous sommes sortis (faudrait le signaler à la Grèce et à l’Espagne), publie un livre très attendu: « le triomphe de la cupidité ».

    L'essai du prix nobel d'économie met en avant trois idées force : la mauvaise allocation des dépenses budgétaires US pour la relance de l'économie, la distorsion de l'utilisation de la fonction financière d'une activité de création d'outils de gestion de l'économie, à un détournement de l'épargne à son seul profit et la nécessité de réformer le système en remettant à l'honneur la solidarité et le sens de l'intérêt collectif.

    Dans cette analyse de la crise et de l’avenir de l’économie mondiale, Joseph Stiglitz compare ce qui s’est passé en septembre 2008 à la chute du mur de Berlin en 1989. Vous savez le fameux mur auquel s’est attaqué notre Sarko national ce 9 novembre… a moins que ce soit le 18 ou bien le 27… ou bien… une retouche photoshop.

    Joseph Stiglitz qui dénonce, depuis plus de 10 ans, le fondamentalisme du marché, la libéralisation à outrance des capitaux, les dérégulations et la montée des inégalités, demande au pouvoir politique de « remettre en cause les fondations » qui ont rendu possible cette crise.

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  • banques_livreDepuis trente ans, la dérégulation bancaire a généré un monstre financier avec ses crises et ses dégâts dans les sociétés. Il est temps de le faire rentrer dans sa boîte par quelques mesures d’encadrement structurel et par des réglementations comme par exemple l’interdiction de s’installer dans des paradis fiscaux qui font du secret bancaire le moyen d’échapper à la justice et au fisc. A la politique de l’ultralibéralisme sauvage, il faut mettre en place une politique alternative et se libérer de la tutelle financière et de l’emprise des banquiers sur les politiques.

    Pascal Canfinest un journaliste et homme politique français. Il est député européen, élu dans la circonscription Île-de-France sous l'étiquette Europe Écologie (désormais Europe Écologie - Les Verts). Sur les banques, il a écrit un opus qui vient de sortir dans les librairies : « Ce que les banques vous disent et pourquoi il ne faut presque jamais les croire ».

    Quatrième de couverture

    « On se fait balader ». C’est le sentiment de toute la société face aux discours des banques depuis la crise de 2008. À les entendre, elles ne seraient pas responsables de la crise, n’auraient rien coûté aux contribuables, et toute nouvelle réglementation conduirait à aggraver la situation et à détruire des emplois.

    Ces arguments martelés à grands coups d’opérations de communication, Pascal Canfin les entend tous les jours en tant que député européen. Il les démonte ici un par un et nous entraîne dans les coulisses de l’Europe, où se négocient les règles supposées encadrer la finance. On y découvre la réalité du lobbying exercé par les banques et le vrai bilan de Nicolas Sarkozy en matière de « moralisation du capitalisme ». Dans la perspective de l’alternance en France en 2012, Pascal Canfin propose des réformes crédibles pour que le politique reprenne enfin la main sur la finance.

    signé: Pidone

     

     

     

     

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  • hosbawm

    Les enjeux du XXIe siècle: entretien d’Eric John Hobsbawm avec Antonio Polito

     Par Eric John Hobsbawm,Antonio Polito 

    Présentation

    Dans cet ouvrage - qui commence là où s'achève L'Age des extrêmes. Histoire du Court XXe siècle - Eric Hobsbawm revient sur certaines questions majeures qui ont marqué la fin du XXe siècle et cherche à anticiper leur évolution dans le monde de demain. La rupture provoquée par la chute des régimes communistes et la fin de la guerre froide a, dès 1991, propulsé le monde an le XXIe siècle, qui sera en partie façonné après les effets de ces événements. Si les Etats-Unis sont aujourd'hui l'unique pays dans l'histoire en position de revendiquer une hégémonie mondiale, le XXIe siècle sera-t-il pour autant un siècle américain au même titre que le fut le XXe ? L'éloignement de la perspective d'un nouveau conflit mondial signifie-t-il que nous sommes entrés dans une ère de paix ? Quels sont les effets de la fin du bipolarisme sur la nature de la guerre et de la paix ? Faut-il, dans le contexte de la globalisation, craindre un monde qui ne soit plus régi par un système d'Etats-nations ? Une autorité globale unique susceptible d'assurer une fonction politique et militaire efficace peut-elle se mettre en place ? Ou bien les Etats vont-ils renoncer à contrôler et encadrer le développement du capitalisme transnational ? Autant de questions essentielles, à côté de beaucoup d'autres (la croissance démographique et son déséquilibre régional, la pression des mouvements migratoires, la dégradation de l'environnement, le développement technologique et l'avenir de la science) sur lesquelles l'auteur se penche avec lucidité, sans s'égarer dans les vaines conjectures de la politique-fiction. Dès avant sa parution, les droits de ce livre ont immédiatement été vendus en Angleterre, en Allemagne, aux Etats-Unis, en Espagne, au Brésil, en Corée, etc.

    Ce livre est téléchargeable gratuitement sur Google books en cliquant ICI.

    Ce qu’en dit Joël Jégouzo sur son blog...

    De tous les indicateurs retenus au cours de cet entretien, deux se dessinaient comme particulièrement fondamentaux.

    Ecartons donc d’emblée celui de l’effondrement de l’URSS, épouvantail commode des démocraties en manque de souffle, même si, sous-estimée, l’ampleur de cette catastrophe et de ses conséquences nous sont encore largement inconnues.

    Le premier indicateur fort tenait au hiatus ouvert entre logique du développement économique et logique politique. Selon Hosbawm, la faillite -pour lui proche en 2000 !-, du fondamentalisme du marché, nécessitait l’intervention conjointe et unanime des Etats. Mais ces derniers semblent avoir perdu leurs moyens de coercition. On assiste même à une sorte de renversement historique. L’Etat moderne, parvenu à son apogée lorsque la protestation sociale s’y institutionnalisa, ne s’impose plus avec la même évidence. Comment, dans ces conditions, ces états « démonétisés » pourraient penser efficacement cette faillite et lui proposer une sortie pertinente ?

    Second indicateur fort, dont nous entrevoyons mieux aujourd’hui les contours : l’individualisme libertaire qui régit les marchés ne saurait en rien convenir aux exigences de la politique internationale. A quelques années de distance, la crise financière survenue, on ne peut qu’admirer la clairvoyance de l’historien ! –joël jégouzo--.

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  • loyer_g

    Paco Ignacio Taibo II  / Je paie pas le loyer, je fais grève !, (Inquilinos del DF, a colgar la rojinegra, 2007) L’atinoir/L’atineur (2008), traduit de l’espagnol (Mexique) par Jacques Aubergy.

    Article sur le blog L'actu du noir de JM Lahérrère...

    En 1922 à Mexico, les locataires, exaspérés par le prix des loyers et l’état lamentable des appartements, décident de se regrouper pour faire valoir leurs droits. Avec l’aide de quelques militants du tout petit parti communiste mexicain, ils se syndiquent et démarrent une grève des loyers. Etonnés de ne jamais avoir rien lu sur cet épisode de lutte, l’inoxydable Paco Ignacio Taibo II a enquêté et écrit ce court texte qui relate, à sa façon inimitable, ces quelques semaines de bagarre. 

    Difficile de trouver un texte qui tombe plus à pic ! En quelques pages, Taibo II illustre par l’exemple historique quelques vérités premières qu’il est bon de rappeler en ces temps agités :

    Ceux qui ont l’argent ne le lâchent JAMAIS, il faut le leur prendre.

    Ceux qui ont le fric ont TOUJOURS le gouvernement, et donc l’armée, la police, et la plupart des media avec eux.

    Conséquence : Ceux qui n’ont rien ne peuvent récupérer leur dû que par la lutte qui passe, cela va sans dire, par un rapport de force. Rapport de force dans lequel … c’est le plus costaud qui gagne.

    Pour être les plus costauds, il faut que toute la population se sente concernée (les syndicats de locataires n’ont réussi à arracher des concessions qu’au moment où ils étaient soutenus par les organisations ouvrières).

    Pour gagner, il faut être prêt à tout, et surtout à ce que les gens « raisonnables » présentent comme irresponsable ou impossible.

    Mais ce n’est pas tout, car, malheureusement, après des succès retentissants, le mouvement finit par être vaincu. On apprend alors que :

    Ceux qui ont l’argent veulent TOUJOURS récupérer le peu qu’ils ont dû lâcher, ils n’oublient JAMAIS.

    Dès que le mouvement se divise, ou qu’il est récupéré par des ambitions politiques, c’est foutu.

    Dès que l’on se replie sur des revendications « raisonnables » on a perdu. 

    Entre autres enseignements utiles de ce petit bouquin … A lire, à méditer, à rapprocher de l’excellente pièce de Dario Fo, Faut pas payer ! puis à mettre en pratique, en essayant d’apprendre les leçons du passé. 

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  • couv_2418Paul Willis, L’École des ouvriers. Comment les enfants d’ouvriers obtiennent des boulots d’ouvriers, Agone, coll. « L'ordre des choses », 201

    Le rejet du travail scolaire par les « gars » et le sentiment qu’ils « en savent plus » trouvent un écho dans le sentiment très répandu dans la classe ouvrière que la pratique vaut mieux que la théorie : « Un brin de zèle vaut une bibliothèque de diplômes », annonce un grand placard placé dans l’atelier. L’aptitude pratique vient toujours en premier et a statut de condition préalable à toute autre forme de savoir. Alors que la culture petite-bourgeoise considère les diplômes comme un moyen de moduler vers le haut la gamme des choix offerts à un individu, du point de vue de la classe ouvrière, si le savoir ne se justifie pas, il faut le rejeter.

    Au travers d’une enquête (classique de la sociologie du monde ouvrier) menée dans un collège anglais fréquenté essentiellement par des enfants d’ouvriers, le sociologue Paul Willis analyse comment ils en viennent à accepter, après leurs parents, des positions relativement dominées dans le monde du travail. De l’école à l’usine, ce livre rend compte de la façon dont, en désorganisant l’encadrement scolaire, en s’opposant aux « fayots », ils privilégient la sortie du système scolaire, confirmant le fait que l’école ne leur promet aucun avenir professionnel en dehors du travail manuel.

    Pour plus d’information cliquer sur le lien http://lectures.revues.org/6699

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  • dynamite-Depuis les premières victoires ouvrières jusqu’à la dérive mafieuse en passant par les Molly Maguires, l’American Federation of Labor (AFL) et l’International Workers of the World (IWW), Louis Adamic brosse un portrait bien documenté des fractions les plus revendicatives de la classe ouvrière aux Etats-Unis. La question de la frontière hante le prolétariat américain : tant que l’Ouest est ouvert, chacun peut y faire fortune, rendant impossible la constitution d’une conscience de classe. Mais dès que « la grande frontière » se referme, que les aventuriers d’hier se prolétarisent, la lutte entre le capital et le travail émerge, marquée par la force de caractère des nouveaux travailleurs et par l’usage qu’ils font de la violence.

    A l’aube du XXe siècle, apogée de l’IWW, les syndicats d’extrême gauche utilisent tous les moyens, de la dynamite au procès. Quand finalement le patronat l’emporte, la violence se mue alors en racket, sur fond de dérive mafieuse, ainsi qu’en sabotage, pratique défensive et dernier recours d’une classe défaite. Mêlant portraits de syndicalistes, anecdotes et analyse structurelle, Adamic livre à la fois un ouvrage militant et un roman d’initiation. (article de Pierre Jean dans le journal  Le Monde)

    Dans un autre article Joël jégouzo conclue sur son blog : « Mais c’est aussi toute l’histoire des utopies sociales que nous raconte Louis Adamic, des fouriéristes américains aux hippies, en passant par les Molly Maguire, ces sociétés secrètes de mineurs, lasses d’attendre une quelconque embellie dans la vie de leurs adhérents et qui pendant des décennies conquirent en Pennsylvanie de vraies avancées sociales à coups d’assassinats de patrons et de contremaîtres...

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  • ... L’Europe au bord du gouffre.

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    20 ans d'aveuglement (surtout l'actualité des 3 dernières années) cela nous rappelle ce que, entre un accident nucléaire et des affaires de fesse, nous oublions trop facilement : des décisions prises contre nous, en notre nom. Ce livre nous rappelle que le centre du débat de la future élection présidentielle doit tourner autour des questions européennes, notamment économiques. Il faut absolument peser pour une autre Europe, car le bilan de ce livre est clair : la politique actuelle européenne est suicidaire.

    Ce livre est très instructif dans les chapitres sur les crises irlandaises et islandaises. On y voit bien les différences entre les situations, ce qui explique les différences entre les décisions et les évolutions. On comprend bien l'enchaînement des événements et les responsabilités. Les économistes atterrés sont des gens intéressants, qui disent des choses intéressantes. A lire pour se cultiver.

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  • Crise et dettes en Europe : 10 fausses évidences, 22 mesures en débat pour sortir de l'impasse [Broché] Philippe Askenazy (Auteur), Thomas Coutrot (Auteur), André Orléan (Auteur), Henri Sterdyniak (Auteur)

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    Ce manifeste ne prétend pas constituer un programme, ce qui est en fait, plutôt une bonne chose. Les auteurs soulignent que les économistes doivent assurer leurs responsabilités vis à vis de la société, sans toutefois déresponsabiliser les politiques et les citoyens, ni oublier que la crise économique n'est qu'un aspect de la tension ressentie aujourd'hui, qui se nourrit également d'une crise sociale et morale. Mais pour que les citoyens disposent d'un choix véritable, il convient au préalable de les informer a minima, et c'est le principal objet du manifeste qui leur est dédié.
    Ce livre tire profit de la crise financière pour dénoncer "10 fausses évidences" à propos notamment des marchés, de la dette publique et de l'Europe. Bref, un livre utile comme tous ceux qui fournissent une base solide de discussions et qui permettra à chacun intéressé, d'apporter terreau et arrosage. Si c'est votre premier livre sur le sujet, si vous vous intéressez à l'économie depuis 6 mois et que vous n'avez rien lu dessus, ou si vous voulez l'offrir à quelqu'un qui ne comprend rien: c'est le livre qu'il vous faut. C’est un livre de vulgarisation fait par des sachants, donc crédible. Profitez-en ! C'est le moment ou jamais de lire ce genre de texte, et celui-ci est particulièrement accessible, bon et légitime.

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