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    Fiche détaillée: Les premiers peuplements de la Côte d’Azur et de la Ligurie ; 1 million d’années sur les rivages de la Méditerranée - t.1 ; le paléolithique  -
    Auteurs Henry De Lumley, Marie-antoinette De Lumley, photos : Eric Melis
    Melis 20 Septembre 2011
    Isbn: 9782352100683
    Illustration     Illustrations couleur
    Nombre de pages     160 ( + de 140 photos et illustrations)
    23.00 €

     
    Henry de LUMLEY et ses collaborateurs, nous font découvrir avec cet ouvrage, les premiers peuplements des rivages méditerranéens depuis 1 million d’années. Les découvertes effectuées dans la région provenço-ligure apportent des informations nouvelles sur les grandes étapes de l’évolution morphologique et culturelle de l’Homme en Europe depuis 1 million d’années. L’ouverture du grand chantier de fouilles préhistoriques du Lazaret (Nice), entrepris le 1er septembre 1961 par Henry et Marie-Antoinette de LUMLEY, fête son cinquantième anniversaire en septembre 2011. Situation géographique et microclimat ont toujours contribué à faire de la Riviera franco-ligure un lieu de passage et de vie privilégiée pour l’Homme. Depuis leur arrivée sur les rivages de la Méditerranée, il y a un peu plus d’un million d’années, les Hommes Préhistoriques n’ont cessé de venir occuper cette belle région. Les traces qu’ils ont laissées, nous permettent aujourd’hui de suivre leur histoire, notre histoire, pas à pas.
     

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  • 9782352100126  (2) Fiche détaillée : Garibaldi, mon héros
    Auteur     L. Melis
    Editeur     Melis Eds
    Date de parution     avril 2008
    ISBN     2352100127
    EAN     978-2352100126
    Illustration        illustrations noir et blanc
    Nombre de pages     240
    Prix : 17 €

    Giuseppe GARIBALDI
    (1807 Nice-1882 Caprera «Sardaigne»)
    Surnommé le «Héros des Deux Mondes

    Garibaldi est né le 4 Juillet 1807. Pour le bicentenaire de sa naissance en 2007, des fêtes en hommage au héros niçois se sont déroulées dans le monde entier. Symbole universel de liberté. Garibaldi, est un des pères de la libération et de l'unité italienne, qui combattit de façon désintéressée, pour l'indépendance de l'Uruguay et autres pays d'Amérique latine... Il termina sa carrière de soldat en défendant la France en 1870-1871, contre les Prussiens. Dans ce dernier combat de sa vie, son corps d'armée fut le seul à remporter des victoires sur l'ennemi, notamment à Dijon,
    Châtillon-sur-Seine, Talant... Durant cette période, le héros rencontrera Gambetta, Bartholdi, le sculpteur, qui fut son aide de camp, Victor Hugo,Emile Zola...

    Dès 1850, il fut élu «homme de renommée mondiale» par The New York Daily Tribune. Victor Hugo disait de Garibaldi : c'est «l'homme de la liberté, l'homme de l'humanité.»

    À travers le regard d'un enfant sarde dont Garibaldi fut le héros, on plonge dans la vie de Garibaldi, pour mieux vivre son épopée, sa dimension de combattant pour la paix, d'homme au service des peuples. Un Garibaldi inhabituel, avec ses passions, sa famille, les femmes qui ont croisé sa vie, et l'amitié avec ses compagnons d'armes. Suivons pas à pas le héros niçois dans sa vie romanesque.

    Progrès, justice, liberté furent ses maîtres mots. Puissent les français apprendre à mieux connaître ce grand héros universel.

     

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  • Invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, Bernard Thibault, le secrétaire général de la CGT, a déclaré que "le résultat de ce sommet (européen de Bruxelles) est catastrophique du point de vue social".

    "Nous continuerons d'être de ceux qui essayeront d'occuper la rue pour dire aux chefs de gouvernement : "vous prenez des décisions qui vont accroître la dureté de la vie pour les salariés, et c'est inacceptable", a en outre  assuré Bernard Thibault,

     

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  • couv_2418Paul Willis, L’École des ouvriers. Comment les enfants d’ouvriers obtiennent des boulots d’ouvriers, Agone, coll. « L'ordre des choses », 201

    Le rejet du travail scolaire par les « gars » et le sentiment qu’ils « en savent plus » trouvent un écho dans le sentiment très répandu dans la classe ouvrière que la pratique vaut mieux que la théorie : « Un brin de zèle vaut une bibliothèque de diplômes », annonce un grand placard placé dans l’atelier. L’aptitude pratique vient toujours en premier et a statut de condition préalable à toute autre forme de savoir. Alors que la culture petite-bourgeoise considère les diplômes comme un moyen de moduler vers le haut la gamme des choix offerts à un individu, du point de vue de la classe ouvrière, si le savoir ne se justifie pas, il faut le rejeter.

    Au travers d’une enquête (classique de la sociologie du monde ouvrier) menée dans un collège anglais fréquenté essentiellement par des enfants d’ouvriers, le sociologue Paul Willis analyse comment ils en viennent à accepter, après leurs parents, des positions relativement dominées dans le monde du travail. De l’école à l’usine, ce livre rend compte de la façon dont, en désorganisant l’encadrement scolaire, en s’opposant aux « fayots », ils privilégient la sortie du système scolaire, confirmant le fait que l’école ne leur promet aucun avenir professionnel en dehors du travail manuel.

    Pour plus d’information cliquer sur le lien http://lectures.revues.org/6699

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  • dynamite-Depuis les premières victoires ouvrières jusqu’à la dérive mafieuse en passant par les Molly Maguires, l’American Federation of Labor (AFL) et l’International Workers of the World (IWW), Louis Adamic brosse un portrait bien documenté des fractions les plus revendicatives de la classe ouvrière aux Etats-Unis. La question de la frontière hante le prolétariat américain : tant que l’Ouest est ouvert, chacun peut y faire fortune, rendant impossible la constitution d’une conscience de classe. Mais dès que « la grande frontière » se referme, que les aventuriers d’hier se prolétarisent, la lutte entre le capital et le travail émerge, marquée par la force de caractère des nouveaux travailleurs et par l’usage qu’ils font de la violence.

    A l’aube du XXe siècle, apogée de l’IWW, les syndicats d’extrême gauche utilisent tous les moyens, de la dynamite au procès. Quand finalement le patronat l’emporte, la violence se mue alors en racket, sur fond de dérive mafieuse, ainsi qu’en sabotage, pratique défensive et dernier recours d’une classe défaite. Mêlant portraits de syndicalistes, anecdotes et analyse structurelle, Adamic livre à la fois un ouvrage militant et un roman d’initiation. (article de Pierre Jean dans le journal  Le Monde)

    Dans un autre article Joël jégouzo conclue sur son blog : « Mais c’est aussi toute l’histoire des utopies sociales que nous raconte Louis Adamic, des fouriéristes américains aux hippies, en passant par les Molly Maguire, ces sociétés secrètes de mineurs, lasses d’attendre une quelconque embellie dans la vie de leurs adhérents et qui pendant des décennies conquirent en Pennsylvanie de vraies avancées sociales à coups d’assassinats de patrons et de contremaîtres...

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  • Un dicton trompeur lorsqu’il s’agit de la dette publique de la France car ce n’est pas celui qui s’enrichit à qui on fait payer la dette.

    À chaque instant, la dette publique française est évolue ... compteur:  € mais que représente réellement son montant astronomique…

     

    La dette, c'est chouette ! from Doncvoilà on Vimeo.

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  • sarkocheminée1_modifié-2

    Les extrémismes de Droite et religieux gagnent du terrain et, comme par le passé, la prétendue communauté internationale en est satisfaite. L’ordre doit être économique et, pour cela, il faut mettre en place des dictateurs et des autocrates. C’est ce que les politiques néocoloniales ont fait en Afrique et en Amérique du Sud. Sur le vieux continent, on sait qu’une crise économique fait toujours resurgir les vieux démons de la xénophobie et du racisme, fond de commerce des extrêmes-droites. Lorsque l'Allemagne a été touchée par la crise économique de 1929, le chômage et la misère augmentaient, ce qui permit aux partis extrémistes tels que le parti nazi, de prendre de l'importance. Les industriels et les milieux d'affaires remarquèrent alors Adolf Hitler nommé Chancelier.Le loup était entré dans la bergerie, on connaît la suite. Lorsque Mussolini convoqua une première grande  réunion à Milan le 23 mars 1919, la salle de la piazza San Sepolcro lui est prêtée par le Cercle des intérêts industriels et commerciaux. La classe bourgeoise italienne, par peur du communisme, a favorisé par la suite son arrivée au pouvoir dans une période de crise économique et de mécontentement général.

    Lorsqu’il s’agit de jeter des millions de gens au chômage, donc dans la misère et la précarité, les droites traditionnelles et les milieux d’affaires  ont toujours fait le lit des extrêmes-droites. C’est ce qui se passe dans plusieurs pays d’Europe et on le sent venir en France. Malheureusement le chant des sirènes attire aussi des naufragés de la Gauche. Il faut qu’ils sachent que ce ne sont pas les politiciens de droite qui leur sortiront la tête de l’eau.  Il y a un espoir à placer dans le Front de gauche et la Fase, seules forces qui peuvent remettre la gauche à sa place, c’est-à-dire dans le peuple. Forces soucieuses de mener une politique sociale en plaçant l’humain d’abord. Il faut tirer les leçons de l’histoire et éviter de renouveler les mêmes scénarii. La Droite est arrivée à son extrémité. Avec le mouvement « droite populaire » de l’UMP, elle touche le fond national. En 2012, l’enjeu est d’importance car c’est celui de notre démocratie chaque jour affaiblie par un autocrate au service de la ploutocratie française prête à s’allier avec le diable. Ne vous y trompez pas, cette alliance n’est pas officielle mais l’arrivée de l’extrême-droite dans l’UMP ne date pas d’hier. Plusieurs de ses membres en sont issus comme Longuet et Devedjian. Les idées du Front national se retrouvent dans les déclarations et le programme de Sarkozy.  Il ne reste plus qu’à faire une place au Front national dans le gouvernement.

    Relisez le discours de Latran (décembre 2007) prononcé par l'actuel chef de l'Etat français… « La laïcité ne saurait être la négation du passé. La laïcité n’a pas le pouvoir de couper la France de ses racines chrétiennes. Elle a tenté de le faire. Elle n’aurait pas dû. Comme Benoît XVI, je considère qu’une nation qui ignore l’héritage éthique, spirituel, religieux de son histoire commet un crime contre sa culture, contre ce mélange d’histoire, de patrimoine, d’art et de traditions populaires, qui imprègne si profondément notre manière de vivre et de penser. Arracher la racine, c’est perdre la signification, c’est affaiblir le ciment de l’identité nationale, c’est dessécher davantage encore les rapports sociaux qui ont tant besoin de symboles de mémoire. » Et encore: « Dans la transmission des valeurs et dans l’apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer le pasteur ou le curé … parce qu’il lui manquera toujours la radicalité… »  Le curé plus important que l'instituteur, tout est là ! Y compris les prémisses du faux débat sur l'identité nationale. A l’Elysée, brûle la flamme du Front national. L’enfer de l’extrême-droite y est pavé de bonnes intentions xénophobes, racistes, antisociales et liberticides. Sarkozy et ses lieutenants ont l’habitude de biaiser en distillant leur argumentaire dans lequel la laïcité devient une valeur chrétienne, l’identité nationale et l’insécurité entraînent la répression croissante de l’immigration… Un discours politique nauséabond qui désigne en permanence des boucs émissaires : les immigrés, les fonctionnaires, les assurés sociaux, les jeunes, les syndicats… Dans cette droite capable des pires extrémités, il y a sans aucun doute de la graine de Laval ayant trouvé chez Sarko un fort relent pétainiste.

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