• Un premier mai à Ajaccio

    Le problème c'est le capital, non le travail

    Même si ce n’était pas le défilé du siècle, il y avait néanmoins du monde sur le cours Napoléon, à Ajaccio, jeudi matin 1er mai, fête internationale du travail. Environ cinq cents personnes ont répondu à l’appel de la Cgt, de Fo et de la Fsu, nonobstant  le soleil, la plage, un pont assez long, des vacances scolaires et peut-être aussi une certaine déception après la défaite de la gauche aux élections municipales. Ces cinq cents manifestants sont venus, non seulement exprimer leur solidarité internationale avec tous les travailleurs de la planète, mais également dire leur mécontentement contre la politique d’austérité et de régression sociale menée par François Hollande et son gouvernement. En particulier contre le fameux pacte d’irresponsabilité et anti solidarité. Ils ont exprimé aussi leur colère contre la baisse du pouvoir d’achat qui affecte l’ensemble des catégories de salariés du public comme du privé, contre le chômage des jeunes et les attaques contre les retraites, contre la casse des services publics et le démantèlement accéléré de l’appareil industriel français. Les derniers exemples significatifs étant le devenir du groupe Alsthom et de la Sncm. 

    Le temps n’est plus à la résignation ou au renoncement, mais à la lutte, tant sociale que politique.

     

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