• Nicolas Sakozy a fait assurément une brillante prestation sur TF1 et France 2, le 27 octobre 2011.

    12 millions de téléspectateurs se sont  pâmés devant les démonstrations époustouflantes du président de la République. Nul doute que la grande majorité d’entre eux en a tiré le plus grand profit et a pu dormir rassurée.

    Voilà pour l’avers. Mais il y a aussi le revers.

    L’émission a été produite par une société privée, la Maximal Productions, détenue par le groupe Lagardère, un des amis du Fouquet’s.  Cette société produit également, entre autres,  C dans l’air sur France 5, aminée par un certain Yves Calvi, féroce contradicteur lors de la prestation présidentiel. Le monde est vraiment petit.

    L’information pourrait être anodine et mesquine, à ceci près que c’est la première fois qu’une entreprise privée intervient dans ce genre d’émission.

    Dernière question. Combien ça a coûté au contribuable français ?

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  • janus9 copie

    Chaque guerre a été précédée par un "méga-mensonge"....

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  • Un accord sur le court terme… Les autorités européennes ont décidé  de recapitaliser le système bancaire de l'Union européenne à hauteur de 106 milliards d'euros. Les banquiers divisent par deux la dette publique grecque dans leurs comptes.  Il leur a été demandé de renforcer leur solvabilité financière pour atteindre un ratio de fonds propres de 9% d'ici fin juin 2012 et de renoncer à distribuer dividendes et bonus. Plusieurs banques ont fait savoir qu’elles ne feraient pas appel aux deniers publics. En France, les besoins de recapitalisation sont évalués par l'Autorité bancaire européenne (ABE) à 8,8 milliards contre 5,2 milliards en Allemagne. Le gouvernement français a laissé entendre que les banques de l'Hexagone n'auraient pas recours à ces garanties publiques. Les efforts de recapitalisation bancaire se concentrent principalement en Grèce (30 milliards d'euros), en Espagne (26 milliards) et en Italie (15 milliards).  Ces mesures, annoncées pour résoudre la crise de la zone Euro, n’apportent qu’une solution bancaire provisoire au problème grec et ne répondent qu’aux exigences des agences de notation. La rigueur reste donc au programme des gouvernants ultralibéraux.

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  • dossier%20de%20presse%202011%20ld_page_01

     

    Festiventu, 20ème édition.

    Une édition pour célébrer toutes celles qui, depuis 1992, ont accompagné la société des années 90’ et des années 2000 dans ses mutations, contribué à éclairer les consciences autour de la défense de la Planète et apportées leur pierre à la construction d’une société plus éveillée et plus joyeuse.

    Le dossier de presse à télécharger ci-dessous:

    http://www.lefestivalduvent.com/uploads/images/COM/2011/Dossier%20de%20Presse%202011%20LD_Page_01.jpg

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  • nousonpeut

     

    On connaît tous la rengaine de l'impuissance : "Dans une économie mondialisée, le gouvernement d'un seul pays ne peut plus faire grand-chose pour contrer le pouvoir de l'argent et des  marchés
    Ne songez donc pas à faire payer les riches, à mater les spéculateurs ou à présenter la facture des crises aux vrais responsables ! Ce n'est plus possible, et les peuples doivent accepter la régression sociale nécessaire pour payer la crise à la place des banquiers et des rentiers qui l'ont provoquée ! C'est ignoble, mais c'est ainsi : on ne peut pas faire autrement ! " Eh bien, Nous, on peut !, comme l'explique ce bref précis d'économie politique à l'usage du simple citoyen.
    "Nous", c'est-à-dire l'autre gauche incarnée ici par le secrétaire national à l'économie du Parti de gauche et par le candidat du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, qui préface l'ouvrage. Avec le talent pédagogique qui fait le succès permanent de ses livres d'économie, Jacques Généreux montre que la mondialisation néolibérale n'est pas une fatalité : c'est un processus politique entièrement commandé par des gouvernements nationaux qui font en réalité ce qu'ils veulent.
    Il explique comment un gouvernement déterminé peut se débarrasser des spéculateurs, reprendre le contrôle de la finance, surmonter la crise de la dette publique, s'affranchir du carcan imposé par les traités européens, sans même sortir de l'Union européenne ou de l'euro. "Donnez-nous une semaine, un mois peut-être, et, en voyant ce que, nous, on peut faire, tous les Européens sauront aussitôt que le seul et unique obstacle à une autre politique... c'est leur gouvernement".

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  • destruction_massive
     

    Géopolitique de la faim

    Jean Ziegler

    Date de parution 13/10/2011

    Toutes les cinq secondes un enfant de moins de dix ans meurt de faim, tandis que des dizaines de millions d’autres, et leurs parents avec eux, souffrent de la sous-alimentation et de ses terribles séquelles physiques et psychologiques.

    Et pourtant, les experts le savent bien, l’agriculture mondiale d’aujourd’hui serait en mesure de nourrir 12 milliards d’êtres humains, soit près du double de la population mondiale. Nulle fatalité, donc, à cette destruction massive. Comment y mettre fin ?

    En prenant d’abord conscience des dimensions exactes du désastre : un état des lieux documenté, mais vibrant de la connaissance acquise sur le terrain par celui qui fut si longtemps en charge du dossier à l’ONU, ouvre le livre. Il s’agit tout aussitôt de comprendre les raisons de l’échec des formidables moyens mis en œuvre depuis la Deuxième Guerre mondiale pour éradiquer la faim. Puis d’identifier les ennemis du droit à l’alimentation. Pour saisir enfin le ressort des deux grandes stratégies à travers lesquelles progresse à présent le fléau : la production des agrocarburants et la spéculation sur les biens agricoles.

    Comme toujours avec Jean Ziegler, la souffrance a un visage, l’oppression un nom, et les mécanismes à l’œuvre sont saisis dans leur application concrète.

    Mais l’espoir est là, qui s’incarne dans la résistance quotidienne de ceux qui, dans les régions dévastées, occupent les terres et opposent le droit à l’alimentation à la puissance des trusts agro-alimentaires. Ils attendent de nous un indéfectible soutien.

    Au nom de la justice et de la dignité de l’Homme.

     

    Rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation de 2001 à 2008, Jean Ziegler est aujourd’hui vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Professeur émérite de sociologie à l’Université de Genève, il a consacré l’essentiel de son œuvre à dénoncer les mécanismes d’assujettissement des peuples du monde. Récemment : L’Empire de la honte (2005) et la Haine de l’Occident (2008).

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  • janus9 copie

     

    La droite populaire, comme son nom l’indique, s’intéresse de près aux couches les plus défavorisées.

    Ainsi par exemple, elle vient de déposer des amendements sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale.

    Que propose-t-elle ?

    Des mesures anti fraudes. En voilà une bonne idée.

    Des mesures qui veulent frapper durement les travailleurs au noir lesquels se verraient sucrer toutes leurs allocations.

    Autre mesure qui dénote un sens élevé de la solidarité, à savoir la suppression du minimum vieillesse pour les étrangers !

    On aurait aimé que la Droite populaire proposât, par exemple, des mesures contre l’évasion fiscale ou contre les patrons voyous qui oublient de payer leurs cotisations à la Sécurité sociale.

    Que ne faut-il pas faire pour chasser sur les terres du Front national ?

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